Je me suis fait très discret sur le blogue depuis le début d’avril. Avec le travail, les obligations familiales, les rendez-vous et toutes les tâches connexes, j’ai tout simplement manqué de temps et d’énergie pour produire du contenu de qualité.

Dans ma vie, j’essaie toujours de tirer des leçons, surtout lorsque ce genre de chose survient.

Tranquillement pas vite, la vie est en train de m’enseigner (encore…) que je ne peux pas tout faire.

En début d’année, je m’étais fixé plusieurs objectifs. Certains plus ambitieux que d’autres. Je voulais que mes revenus augmentent d’au moins 10 %, je voulais lire 30 livres, regarder les films dans ma liste sur Netflix, courir un 5 KM, pédaler 500 km à vélo, apprendre à dessiner, m’améliorer en photographie…

Sans compter les 12 défis mensuels que je voulais relever au cours de l’année.

Même s’il reste un peu plus de la moitié de l’année à écouler, il semble que je ne serai pas en mesure de réaliser tous mes objectifs. Je réalise peu à peu que je ne pourrai pas tout faire.

Et vous savez quoi? C’est correct. Je l’accepte et je vis avec.

Ce n’est pas facile, parce que je suis orgueilleux et que je déteste échouer. Je suis très dur envers moi-même et je vais toujours le rester. Ça ne changera pas.

Être cheap comme je le suis, ça complique les choses, c’est certain.

Oui, je sais que je pourrais dépenser de l’argent pour gagner du temps. Si je payais quelqu’un pour tondre mon gazon, j’aurais 1 heure de plus par semaine pour travailler sur mon roman ou pour lire. Si j’embauchais une femme de ménage, je pourrais partir en vélo pendant 2 ou 3 heures chaque semaine. Si j’achetais des boîtes d’ingrédients pour repas tous prêts au lieu de cuisiner, je gagnerait 1 heure par jour.

Mais j’ai fait d’autres choix. Pour le meilleur et pour le pire. Heureusement, jusqu’ici, il y a plus de meilleur que de pire. En ce moment, je traverse une période un peu plus difficile de ce côté (il y a pire problèmes que ça, je le sais très bien), mais j’ai confiance que je vais trouver un moyen de m’en sortir.

Retour sur les défis

Avec tout ça, l’aventure des défis en a pris pour son rhume. En avril, je m’étais mis au défi de réduire mon gaspillage, défi que j’ai prolongé pour le mois de mai aussi. Ce fut assez concluant en avril, mais beaucoup moins en mai. Pas facile, ce défi. Tu oublies un fruit dans le fond du tiroir ou un restant de poulet dans un plat pendant trois jours et c’est foutu.

J’avais modifié mes habitudes d’achat en avril, mais j’ai repris mes vieilles habitudes au mois de mai. Je vais travailler là-dessus dans les prochaines semaines pour bien implanter les bonnes habitudes.

L’autre défi important, soit celui de retrouver la santé, a aussi eu la vie dure ces derniers temps. Je me suis blessé en faisant du sport, ce qui s’est traduit par un repos forcé qui s’est un peu prolongé. Je reprends tranquillement…

Ce que le futur me réserve

Il y a un autre projet qui s’est concrétisé au cours des dernières semaines et qui a accaparé beaucoup de mon temps.

C’est un projet important, le genre qui n’arrivera qu’une fois (j’espère!) dans ma vie et qui va demander encore plus de temps et d’énergie.

Qu’est-ce que c’est?

Un déménagement!

Je n’en dis pas plus pour l’instant.

Faudra revenir demain pour lire le nouvel article!