Note aux nouveaux Savants et nouvelles Savantes : d’abord, bienvenue! Merci de me lire. À la fin de 2017, j’ai décidé que j’allais me fixer un nouveau défi par mois en 2018. J’ai commencé par ne rien acheter pendant tout le mois de janvier. En février, je me suis concentré sur mon alimentation et ma forme physique, suite à un diagnostic troublant. Et en mars, je m’étais mis au défi d’en apprendre le plus possible sur le monde de l’investissement boursier. Voici le compte-rendu de ce défi.

 

UN ÉCHEC

Wow! Le mois de mars est déjà fini. Je ne l’ai presque pas vu passer.

Remarquez, ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre! Plus le mois de mars passe vite, plus le printemps arrive vite! Ça ne paraît pas aujourd’hui, mais il va commencer à faire beau et chaud bientôt!

Donc, le temps a passé très vite, comme je le disais. Je n’ai pas chômé pendant ce mois et je ne me plaindrai pas de cela, non plus. J’en suis même très content, en fait. Au début de l’année, je m’étais fixé des objectifs assez ambitieux et je les ai atteints (et même dépassés!) pour le premier trimestre. Il en reste 3!

Cependant, comme il n’y a que 24 heures dans une journée et que j’avais autre chose à faire en plus de mon travail (comme tout le monde, en fait), je ne suis malheureusement pas arrivé à relever le défi que je m’étais fixé, soit d’en apprendre davantage sur le monde de la Bourse.

J’ai perdu un peu de temps à lire un bouquin emprunté à la bibliothèque qui n’était pas pertinent du tout. Ensuite, j’ai commencé la lecture d’un bouquin sur la philosophie de Warren Buffett, qui est sans doute l’investisseur le plus célèbre du XXe siècle. Celui-ci est plus intéressant, mais je n’ai pas encore eu la chance de le terminer.

Je ne lance pas la serviette pour autant. J’ai toujours l’intention d’en apprendre le plus possible sur l’investissement boursier. De toute façon, si je me fie à monsieur Buffett, la patience est le meilleur outil d’un investisseur!

Ce n’est pas urgent, de toute façon. En plus, avec les actions et les paroles loufoques du twit à la Maison-Blanche, les marchés sont en crise. Il n’y a jamais de moment parfait pour investir, mais en ce moment, ça me semble être pire qu’à l’habitude!!!!

Donc, je vais continuer à apprendre et je plongerai lorsque je me sentirai prêt à le faire.

ON CONTINUE

Je suis fier de dire que le défi que je m’étais lancé en février (LIEN) s’est poursuivi avec succès en mars. Maintenant, l’exercice fait partie de ma routine quotidienne : chaque jour, je me réserve 1 heure ou 1h30 pour bouger au gym. En mars, j’ai manqué seulement 4 ou 5 jours.

Les résultats commencent à paraître, autant physiquement que mentalement. Je me sens beaucoup mieux. J’ai plus d’énergie, je dors mieux (sauf la nuit dernière…) et j’ai hâte de pouvoir aller rouler à vélo. Je veux rouler au moins 500 kilomètres cet été; plus tôt je pourrais commencer, mieux ce sera!

Par contre, le défi de ne rien acheter a pris fin en mars, comme je l’avais prédit. J’ai acheté quelques nouveaux vêtements pour remplacer ceux qui étaient devenus trop grands. Heureusement, en rangeant mes vêtements d’hiver, j’ai retrouvé plusieurs morceaux que j’avais mis de côté même s’ils étaient devenus un peu étroits. J’étais très content lorsque j’ai constaté que plusieurs morceaux étaient encore en très bon état et qu’ils étaient moins « serrés » maintenant! J’adore magasiner dans mes vieilles choses!

EN AVRIL, FAUT PAS QUE TU GASPILLES

Pour le mois d’avril, je me propose un nouveau défi : celui de réduire le gaspillage d’aliments.

C’est un problème qui persiste depuis quelque temps, déjà, dans la Casa di Savant. J’achète de la nourriture, je la range au frigo et trois ou quatre semaines plus tard, le concombre est prêt à sortir du frigo de son propre gré. Ou la laitue romaine est devenue sèche et d’une couleur quelque peu douteuse.

Nous gaspillons beaucoup trop de nourriture. Ce sont surtout des fruits et des légumes. Par exemple, j’achète des choux, un vert et un rouge, pour faire une salade de choux maison. Même si j’essaie de prendre les plus petits choux possible, j’en ai toujours beaucoup trop. Je prépare une salade, puis je range le reste du chou dans le tiroir à légumes. Puis je l’oublie là. Résultat des courses : deux beaux gros morceaux de chou dans le compost.

Puisque c’est moi qui cuisine la majorité des repas, qui prépare les lunchs et qui fais l’épicerie, j’en prends l’entièreté du blâme. C’est de ma faute si on gaspille autant.

Donc, en avril, je veux réduire le gaspillage le plus possible. Je n’ai pas de chiffres, donc je ne dirai pas que je veux réduire le gaspillage de 75 %.

Je vais y aller à l’oeil. Je pourrais noter tous les aliments gaspillés et leur valeur dans un cahier; à la fin du mois, je vais calculer le montant d’argent total que j’aurai jeté au compost.

Avec une meilleure planification des repas et moins de paresse, j’ai confiance que je pourrai réduire le gaspillage de beaucoup.

À suivre.

 

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